Créer un e-commerce
Ce dossier a été réalisé par Winnie TONOU, de l' INSEEC . Vous y trouverez également de nombreux liens pour vous aider dans vos démarches.
Fiche technique
Une question fiscale sur votre entreprise ? |
Internet est un secteur très porteur, qui suscite de plus en plus d'intérêt. En effet, beaucoup veulent se lancer dans la création d'une start up sur Internet afin de profiter de l'explosion de ce marché. Cependant, il faut éviter de se lancer à l'aveuglette au risque de faire face à certaines désillusions. Il est nécessaire d'avoir un projet construit et réfléchi. 
Trouver l'idée
Aujourd'hui, émerger sur le marché du e-commerce, n'est pas chose facile. En effet, de nombreux modèles économiques sont déjà exploités sur le Net (sites de rencontres, places de marché, comparateurs, sites marchands…). Dans certains secteurs, les barrières à l'entrée à l'entrée sont difficiles (sites de rencontre avec le leader Meetic, place de marché avec Ebay…).
Cependant, nul besoin d'avoir une idée extraordinaire pour pouvoir lancer sa start up, l'essentiel est de trouver la bonne idée, suffisamment attrayante, ayant une réelle valeur ajoutée et un marché potentiel.
Les futures start up doivent se différencier et innover par rapport à la concurrence en profitant de nouvelles technologies. En effet, l'évolution technologique constante favorise l'apparition de nouveaux besoins. Ainsi l'idée de base doit non seulement être suffisamment rentable mais elle doit pouvoir évoluer et s'adapter à ces nouvelles technologies.
Cependant, attention à tout miser sur la technologie. Compte tenu de la maturité du marché, l'internaute est de plus en plus à la recherche de concepts clairs, de sites simples, pratiques, fonctionnels.
Enfin, les meilleures idées viennent souvent lors de moments banals ou insolites (confère Marc SIMONCINI, pdg de Meetic, qui a trouvé l'idée du site lors d'un dîner entre amis célibataires).
En conclusion, la question que doit se poser le futur cyber-entrepreneur : mon produit ou mon service répond il a un besoin ? a-t-il une réelle valeur ajoutée et se prête t-il au commerce sur Internet ?
Outre le fait de trouver la bonne idée, il est indispensable que celle-ci soit portée par des personnes compétentes.
Le profil du cyber-créateur
Pas besoin d'être un informaticien confirmé ou d'avoir un MBA pour pouvoir créer sa start up sur le net (certes cela aide), créer une start est aujourd'hui à la portée de tout le monde (presque).
Comme vu plus haut, le cyber-entrepreneur doit faire preuve de curiosité, d'observation. Les meilleures idées viennent souvent au moment où on s'y attend le moins.
Autres atouts que doit avoir le cyber-entrepreneur : une volonté immense de se lancer dans le projet, être prêt à beaucoup d'efforts, l'art de gérer le stress, savoir travailler en réseau et trouver de nouveaux partenaires.
Les échecs étant nombreux chez les start up, le cyber-entrepreneur devra pouvoir se relever face aux différents coups durs qu'il pourrait rencontrés.
Internet étant un canal qui évolue sans cesse, il devra également faire de réactivité et d'un sens de l'anticipation afin de toujours rester en phase avec les évolutions constantes.
L'équipe idéale pour monter un site e-marchand se constitue : de 3 personnes avec des compétences complémentaires (marketing, informatique et finance).
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Etat du marché
Le marché
Au deuxième trimestre 2008, 32,3 millions de personnes se sont connectées à Internet, ce qui représente 61,1% de la population.
95% des internautes sont connectées en haut débit à domicile, une croissance de 14% par rapport à juin 2007.
Les 3 secteurs les plus plébiscités dans le e-commerce :
- les produits culturels et loisirs
- les vêtements et la maroquinerie
- les produits High-tech
On note aussi l'explosion du secteur du luxe : de 5,8% à 10,8%.
Le Web représente 38% de la consommation média hebdomadaire des français, suivi pas la télévision et la radio. Le Web est donc le média préféré des français.
Equipement des foyers : au 2ème trimestre 2008, plus d'un foyer a accès à Internet, ce qui représente 14,1 millions de foyers (contre 12 millions à la même période l'an passé).
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La clientèle
B to C :
Internet s'est définitivement installé dans nos habitudes de consommation. En effet plus d'1 français sur 3 achète sur Internet d'après Mediametrie//NetRatings et cette proportion augmente nettement : 36% en 2008, contre 30% en 2007.
On compte aujourd'hui 21 millions de cyberacheteurs pour 31,9 millions d'internautes (selon Mediametrie, le nombre d'internautes continuent de croître plus vite que celui des internautes).
97% des cyberacheteurs déclarent être satisfaits de leurs achats en ligne : la majorité des cyberacheteurs apprécie les conditions d'achat sur Internet qu'il s'agisse de la livraison, des délais, du service après-vente.
Les dernières tendances en matière d'achat en ligne :
On observe une plus grande diversification des achats effectués sur internet. Certains produits sont de plus en plus plébiscités par les cyberacheteurs. C'est le cas des vêtements, consoles et jeux vidéo qui sont en forte progression au 1er semestre 2008 :
• 46% des internautes ont acheté de l'habillement (39% en 2007)
• 22% des internautes ont acheté des consoles de jeux ou des jeux vidéo (15% en 2007)
• 20% des internautes ont acheté des jeux ou jouets (16% en 2007)
• 17% ont acheté des parfums (13% en 2007)
On notre aussi une diversification au niveau du profil de la clientèle. Le e-commerce n'est plus seulement l'apanage de la clientèle classique : CSP+ et les jeunes. En effet, les seniors et les classes moyennes (CSP -) sont désormais chaque trimestre plus nombreux à fréquenter les sites marchands. Les 2/3 des internautes de plus de 50 ans (64%) et des internautes CSP - (66%) ont déjà effectué un achat en ligne.
Cette nouvelle clientèle affiche un taux de satisfaction encore plus élevé que le reste de la population. De plus, les seniors sont de plus en plus nombreux à acheter des produits techniques (électronique grand public, électroménager, …) ainsi que des produits pour la maison, d'hygiène beauté et de santé.
Quant aux CSP -, ils ont également fortement augmenté leurs achats de produits techniques, mais aussi culturels, ainsi que de jeux et jouets.
Pourquoi l'achat rapporte un tel succès ?
Les raisons qui poussent les cyberacheteurs à acheter sur Internet sont :
• La facilité de comparaison : plus des 3/4 des internautes (78%) trouvent pratique de pouvoir comparer différents sites marchands avant d'effectuer un achat
• La flexibilité : 72% apprécient de pouvoir acheter 24h sur 24
• Des prix plus attractifs : près de la moitié des internautes (48%) trouvent que les prix sont plus bas sur Internet
• Complémentarité off et on line : Plus de la moitié (56%) des internautes ont consulté un site marchand avant d'acheter en magasin, et un tiers (33%) des internautes ont visité un magasin avant d'acheter en ligne.
D'autre part, les blogs représentent également une source d'information pour17% des internautes et 14% s'informent via les réseaux sociaux.
Enfin Internet favorise également l'ouverture sur les marchés étrangers : 23% des internautes déclarent avoir acheté sur des sites étrangers au cours des 6 derniers mois ; les produits techniques étant les biens les plus achetés pour 40% de ces acheteurs.
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B to B :
En janvier 2007, 97% des entreprises sont connectées à Internet dont (90% pour les PME).
Cependant le développement du e-commerce B to B n'est pas aussi conséquent que celui du B to C.
Le marché B to B peut être segmenté en 3 catégories :
- les grandes entreprises engagées dans des projets importants : mise en place de système d'e-procurement…
- Les PME-PMI, dont les besoins sont semblables à ceux des grandes entreprises, mais qui disposent de moins de moyens. Ils sont donc à la recherche des solutions clé en main.
- Les TPE, dont les achats sont comparables à ceux du marché du B to C
Contrairement au marché particulier, l'offre en B to B est souvent complexe, ce qui rend difficile la recherche et la navigation en ligne.
De même, par rapport au B to B qui est largement dynamisé par de nouveaux entrants, le développement du commerce B to B est plutôt l'initiative d'entreprises traditionnelles qui doivent s'adapter à ce nouveau canal et veiller à la non cannibalisation de leurs canaux de distribution par Internet. Le B to B intéresse également de plus en plus les e-marchands grand public qui ouvrent des espaces dédiés aux professionnels.
En outre, la décision d'achat est beaucoup plus impliquante en B to B qu'en B to C, le prix ne représentant également qu'un élément parmi d'autres dans la prise de décision.
Les principaux freins au développement du e-commerce qu'on peut noter sont : un attachement fort aux canaux traditionnels et certaines entreprises ne perçoivent pas encore la contrepartie économique grâce à l'achat sur Internet.
Lien utile :
La concurrence
L'e-commerce est un secteur très concurrentiel surtout l'e-commerce grand public. Il faut se faire un nom très vite pour tirer son épingle du jeu.
Le nombre de sites marchands continue a augmenté très rapidement en France. Celui-ci a progressé de 83% selon la fevad, passant de 17 500 sites en fin 2006 à 32 000 en septembre 2007.
Top 5 des sites marchands en France au premier trimestre 2008 :
Sites |
Pénétration d'achat (%) |
CDiscount |
40 |
Voyages-sncf |
36 |
Ebay |
32 |
La Redoute |
31 |
Fnac |
31 |
Lien utile :
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Forme juridique de la start up
La SARL (société anonyme à responsabilité limitée) est la forme juridique la plus utilisée par les start up. Plus souple, la SARL s'adapte mieux à la gestion d'une petite structure.
Les autres formes les plus utilisées sont la SA (société anonyme) et la SAS (société par actions simplifiées).
62% des start up disposent d'un capital social compris entre 7500€ et 10 000€.
Lien utile :
www.apce.com/pid223/7-choisir-un-statut-juridique.html
www.documentationjuridique.com/choisirstatut.htm
La création du site
Le coût de la création d'un site est très variable. Cependant, il faut tabler entre 3 000€ et 10 000€ en moyenne pour avoir un site fonctionnel et viable.
Plusieurs possibilités existent pour créer son site :
- soit le faire soi même
- soit avoir recours à des agences
- soit utiliser des solutions prêtes à l'emploi disponibles sur le net :
Lien utile :
Le cyber-entrepreneur devra également :
- S'identifier clairement dans les mentions légales du site : noms des créateurs du site, responsable de la rédaction, dénomination sociale, hébergeur du site…
Lien utile :
- Choisir un nom de domaine (adresse du site sur Internet). Ce nom de domaine devra être de préférence simple, facile à retenir et à orthographier (acheter toutes les extensions possibles, fautes d'orthographes y compris). Vérifier que le nom de domaine et les noms de domaines proches ne sont pas déjà déposés
Lien utile :
Attention :
Pour les extensions .fr, vous devez être une société localisée en France. Auparavant vous devez présenter un Kbiss pour pouvoir vous faire délivrer une extension.
Les extensions .com sont à priori, connotés international. Au contraire, les .fr sont une marque « made in France ». Si vous travaillez dans l'univers des produits du luxe, vous pouvez avoir intérêt à communiquer en .fr
Les extensions n'ont aucun intérêt technique, elles n'ont d'intérêt que sur le plan marketing (je prends un .fr si j'ai envie de vendre l'image de la France, exemple dans le domaine du vin, du luxe ou la France a une image forte, si par contre l'image de la France a peu d'intérêt et que je veux être transparent, je préfèrerais un .com)
Il faut s'adresser à des registrars pour acheter des noms de domaines en .com, .net, etc. (voir liste des extensions sur icann.org).
- Protéger la marque auprès de l'INPI ainsi que l'arborescence et le design du site
- Déclarer le site auprès de la CNIL
Lien utile :
Faire vivre le site
Héberger le site :
Plusieurs choix d'hébergement possibles :
- hébergement mutualisé :
Plusieurs sites sur un même serveur.
Avantages : Moins cher. Pas besoin de vous occuper des aspects techniques, c'est votre hébergeur qui s'en charge.
Inconvénients : Si maintenance pas correctement assurée par l'hébergeur, votre serveur peut être planté pendant un long moment. Vous devez accepter l'offre comme elle est. Pas de possibilité d'installer vos logiciels, vos propres bases de données, etc.
- Hébergement dédié :
Vous louez ou achetez un serveur mais il reste chez un hébergeur.
Avantages : Vous bénéficiez du support technique de l'hébergeur. Attention à bien définir le contrat de maintenance. Qui fait quoi et dans quel délai et à quel prix ? Vous pouvez installer ce que vous voulez sur le serveur. Attention à ne pas installer de logiciels non testés et éprouvés au niveau de la sécurité.
Vérifiez aussi si c'est vous qui devez installer les mises à jour de sécurité ou bien votre hébergeur.
Inconvénients : S'il n'y a pas d'interface de gestion du serveur simple, il faut s'y connaître suffisamment.
- Hébergement en interne :
Vous hébergez votre serveur en interne.
Avantages : Accès total au serveur.
Inconvénients : Cela coûte très cher en moyens humains car il faut une équipe capable d'intervenir 24/24 et 365 jours par an.
Bien choisir son fournisseur d'accès :
En se basant sur la qualité des services proposés et le trafic
Référencer le site :
Point essentiel. En effet, vous pouvez créer le plus beau site mais tant que les internautes ne peuvent pas le trouver, il ne sert à rien.
Il faut donc référencer son site sur les moteurs de recherches et annuaires thématiques.
Le référencement par les moteurs de recherches se fait manuellement (le site incontournable reste Google bien sûr).
On distingue deux types de référencement : le référencement naturel et payant (liens commerciaux).
Selon la cible que vous visez, vous devez employer les mots clefs qu'elle utilise (jargon professionnel pour les sites b to b et termes courants pour les particuliers).
Le référencement sur les annuaires thématiques se fait sur demande.
Il faut réfléchir à votre politique de référencement dès la phase de création du site.
Lien utile :
Animer le site :
Rien de pire qu'un site qui donne l'impression d'être abandonné. Pour donner envie à l'internaute de visiter régulièrement votre site :
- actualiser l'information :
Et ce dès (surtout) la page d'accueil, avec les informations les plus récentes, dater clairement l'information (mettre la date du jour est un plus également), des photos mises à jour.
- Guider le visiteur :
Avec une bonne hiérarchisation de l'information et une bonne mise en avant, un bon agencement, il faut amener les internautes vers l'information la plus importante.
Gérer un site ne se résume donc pas à y remplir de l'information mais de savoir bien l'organiser et bien la rédiger. Il faut donner envie à l'internaute de rester le plus longtemps sur le site.
- Assurer l'interactivité :
Veuillez à répondre aux e-mails de vos internautes. Les gens qui vous écrivent correspondent à votre cœur de cible, donc soignez les !
Si vous créer un forum, gérer bien son administration afin d'éviter toute dérive, sans toutefois de tomber dans la dictature. Les internautes doivent se sentir libres dans leur participation.
N'hésitez pas à communiquer également les critiques et commentaires positifs des internautes sur le site sans en faire trop.
Promouvoir le site :
Aider l'internaute à trouver votre site.
- On line :
Bannières publicitaires, organisation et participation à des concours, présence dans les newsgroups et les mailings list ciblées, affiliation…
- Newsletter :
Envoi régulier (sans en faire trop) d'une newsletter aux internautes pour présenter les nouveaux produits, les nouvelles promotions…
N'attendez pas que les internautes viennent voir ce qu'il y a de neuf sur le site.
- Off line :
Publicité via les médias traditionnels, bouche à oreille…
La logistique :
C'est un point essentiel dans le e-commerce. Une bonne logistique est une garantie pour le cyberacheteur. Donc assurez une logistique de béton.
Mettre en place également un système de suivi de colis afin de rassurer l'internaute durant tout le processus de livraison.
Les moyens de paiements :
- Carte bancaire : Pour accepter le paiement par carte bancaire sur votre site, il vous faut un contrat VAD (vente à distance), qu'il faut demander à votre banque. Ce contrat va fixer le montant du fixe et du variable que la banque va prendre sur chaque commande.
Il faut avoir un terminal de paiement électronique (TPE). Soit vous utilisez la solution de paiement sécurisée de votre banque, soit vous choisissez une solution tierce comme paybox.com, ou autres. C'est la page avec le cadenas. Il faut payer un fixe mensuel.
- Chèque : Délais d'encaissement plus longs. Attention aux chèques sans provision. Un chèque encaissé peut être débité de votre compte 10 jours au plus tard car il est sans provision. Pour éviter les impayés par chèque, il faudrait attendre 10 jours après l'encaissement avant d'expédier la marchandise mais ce n'est pas très commercial, ou souscrire à une assurance client comme Fia-Net.com. Dans les deux cas, il faut indiquer dans vos CGV que la marchandise ne sera expédiée que 10 jours après l'encaissement.
A préciser : Il faut préciser dans vos conditions de vente que vous n'acceptez que les chèques français libellés en euros.
Attention car il y a des frais même quand vous encaissez un chèque d'un pays européen.
Faire attention à la valeur juridique des chèques d'un pays à un autre (en France le chèque est très sérieux, dans certains pays non).
- Paypal/Allopass (micro paiement) :
Lien utile :
- Contre remboursement : Paiement à réception de la marchandise au transporteur. Comporte des risques pour le marchand : le client refuse la marchandise, chèque sans provisionnement.
- Mandat : Très lourd à gérer. Cela peut être utile d'accepter le mandat quand on travaille avec des administrations.
- La e-carte bancaire : Système qui permet de générer un numéro de CB unique par transaction.
- Virement : Rapide mais attention car c'est assez lourd à gérer et quand vous recevez des virements de l'étranger, il y a des frais importants.
Si vous acceptez d'être payé par virement, il faudra indiquer clairement et à plusieurs endroits (confirmation de commande, CGV, etc.) vos coordonnées bancaires.
- Traite : Il faut adapter le moyen de paiement à la cible. Si vous travaillez avec des professionnels B to B, il faudra leur proposer de payer avec les moyens de paiement des professionnels comme la traite.
Sécurisation des paiements :
Autre point essentiel. Le cyber-entrepreneur devra veiller à la fiabilité de son système de paiement.
Un site qui a la réputation de ne pas sécurisé, est complètement rédhibitoire pour l'internaute.
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Gagner de l'argent grâce à votre site
Autre moyen de gagner de l'argent grâce à votre site : la publicité.
Bannières, programme d'affiliation… plus de détail en suivant ce lien
Lien utile :
www.siteduzero.com/tutoriel-3-13621-gagner-de-l-argent-grace-a-la-publicite.html
Loi et juridiction sur internet
De nombreux sites sont dédiés à la législation sur Internet : noms de domaine, signature électronique… :
Liens utiles :
…
Le plan financier
- Financement :
Une liste d'organimes utiles pour le financement de votre projet :
Liens utiles :
AGENCE POUR LA CREATION D'ENTREPRISE
LE MINISTERE DES PME DU COMMERCE ET DE L'ARTISANAT
www.pme-commerce-artisanat.gouv.fr
OSEO anvar
OSEO bdpme
SIAGI
L'ADIE – Association pour le Droit à l'Initiative Economique
LES BOUTIQUES DE GESTION
FRANCE INITIATIVE RESEAU
RESEAU ENTREPRENDRE
- le business plan :
Elément clé de votre projet. Il permet d'estimer tous les frais relatifs à la mise en place du projet.
C'est également grâce à ce document que vous pousserez votre banquier à se jeter à l'eau avec vous.
Autant dire que le business est un dossier indispensable pour monter votre projet et qui doit être soigneusement ficelé.
Monter un business plan n'est pas chose facile. N'hésitez à faire appel à un expérimenté pour vous y aider.
Les éléments que l'on retrouve dans un business plan :
- l'étude de marché : la concurrence, la clientèle, la politique commerciale…
- le compte de résultats
- résultat
- Fond de roulement
- besoin en fond de roulement
- trésorerie
Lien utile :
Lexique
Start-up (ou jeune pousse) : entreprise dans les secteurs des nouvelles technologies de l'information (notamment Internet) appelée à un fort et rapide développement
E-commerce (ou commerce électronique) : ventes de biens ou services via les réseaux informatiques.
Business model : modèle économique
Cyber-entrepreneur (ou entreprenaute) : entrepreneur sur Internet
Bannière : publicité sous forme d'image insérée dans une page web.
Place de marché : site qui met en relation des vendeurs et acheteurs d'une mêe filière de produits dans le B to B
B to B : relations commerciales inter entreprises
B to C : relations commerciales des entreprises vers le grand public
C to C : relations commerciales entre consommateurs
Affiliation : Système d'échange entre un site affilieur (site marchand ou éditeur de contenus) et un site Affilié qui accepte d'héberger les contenus ou offres commerciales de l'affilieur, contre rémunération (commission au contact ou la vente générés).
Mot clé : Terme servant à l'internaute pour préciser sa requête sur un outil de recherche.
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